RETOUR À L’ENTRÉE DU SITE
Plutarque,
Oeuvre morales
TABLE DES TRAITÉS CONTENUS EN CE
VOLUME.
page 4. Sur l'éducation des enfants (à faire)
ΠΕΡΙ
ΠΑΙΔΩΝ ΑΓΩΓΗΣ.
AUTRE
TRADUCTION française : Victor BÉTOLAUD, Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres
morales, t. I , Paris, Hachette, 1870.
page
30. Sur
la manière de lire les poètes
ΠΩΣ ΔΕΙ ΤΟΝ ΝΕΟΝ ΠΟΙΗΜΑΤΩΝ
ΑΚΟΥΕΙΝ
page
88.
Comment on doit écouter (à faire)
ΠΕΡΙ
ΤΟΥ ΑΚΟΥΕΙΝ.
AUTRE
TRADUCTION française : Victor BÉTOLAUD, Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres
morales, t. I , Paris, Hachette, 1870.
page
112. Sur
la manière de discerner un flatteur d'avec un ami (à
faire)
ΠΩΣ
ΑΝ ΤΙΣ ΔΙΑΚΡΙΝΕΙΕ ΤΟΝ ΚΟΛΑΚΑ ΤΟΥ ΦΙΛΟΥ.
AUTRE
TRADUCTION française : Victor BÉTOLAUD, Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres
morales, t. I , Paris, Hachette,
1870.
page
166. Sur
les moyens de connaître les progrès qu'on fait dans la vertu
page
194. Sur
l'utilité qu'on peut retirer de ses ennemis
page
209. Sur
le grand nombre d'amis
page
223. Sur
la fortune
page
226. Sur
le vice et la vertu
ΠΕΡΙ
ΑΡΕΤΗΣ ΚΑΙ ΚΑΚΙΑΣ.
AUTRE
TRADUCTION française : Victor BÉTOLAUD, Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres
morales, t. I , Paris, Hachette,
1870.
page
230.
Consolation à Apollonius sur la mort de son fils
page 273. Préceptes de santé
page
306.
Préceptes de mariage
ΓΑΜΙΚΑ
ΠΑΡΑΓΓΕΛΜΑΤΑ.
TRADUCTION française : Victor BÉTOLAUD, Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres
morales, t. I , Paris, Hachette, 1870.
page 325. Le
banquet des sept sages
page 368. De la superstition
page
389.
Apophtegmes des rois et des capitaines célèbre.
page
482.
Apophtegmes des Lacédémoniens.
page
571.
Actions courageuses des femmes
FIN
DU PREMIER VOLUME
TABLE DES TRAITÉS CONTENUS EN CE VOLUME.
pages 1-70 : Questions
romaines
ΑΙΤΙΑ
ΡΩΜΑΙΚΑ
pages 71-105 : Questions
grecques
ΑΙΤΙΑ
ΕΛΛΗΝΙΚΑ
pages 106-134. Parallèles
d'histoires grecques et romaines
ΣΥΝΑΓΩΓΗ
ΙΣΤΟΡΙΩΝ ΠΑΡΑΛΛΗΛΩΝ ΕΛΛΗΝΙΚΩΝ ΚΑΙ
ΡΩΜΑΙΚΩΝ
De
la vertu des Romains (à
faire)
autre
traduction : Traduction française :Victor
BÉTOLAUD, Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. II , Paris,
Hachette, 1870.
ΠΕΡΙ
ΤΗΣ ΡΩΜΑΙΩΝ ΤΥΧΗΣ.
Sur la fortune ou la vertu
d'Alexandre
Premier
discours (à faire)
autre
traduction : TRADUCTION française : Victor
BÉTOLAUD, Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. II , Paris,
Hachette, 1870.
ΠΕΡΙ ΤΗΣ ΑΛΕΞΑΝΔΡΟΥ ΤΥΧΗΣ Η ΑΡΕΤΗΣ ΛΟΓΟΣ
Αʹ
Second
disours
autre
traduction : TRADUCTION française : Victor
BÉTOLAUD, Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. II , Paris,
Hachette, 1870.
ΠΕΡΙ
ΤΗΣ ΑΛΕΞΑΝΔΡΟΥ ΤΥΧΗΣ Η ΑΡΕΤΗΣ ΛΟΓΟΣ Βʹ
page 209. Les
Athéniens se sont-ils plus illustrés par les lettres que par les armes
?
page 226. Que
signifie le mot EI gravé sur la porte du temple de Delphes ?
ΠΕΡΙ ΤΟΥ
ΕΙ ΤΟΥ ΕΝ ΔΕΛΦΟΙΣ
page 251.
Pourquoi la Pythie ne rend plus ses oracles
en vers ?
page 289. Pourquoi les
oracles ont cessé
ΠΕΡΙ
ΤΩΝ ΕΚΛΕΛΟΙΠΟΤΩΝ ΧΡΗΣΤΗΡΙΩΝ.
AUTRE
TRADUCTION française : Victor BÉTOLAUD, Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres
morales, t. II , Paris, Hachette, 1870.
page 355. La vertu est le
fruit de l'enseignement
page 359. De la vertu
morale
page 385. Des moyens de
réprimer la colère
ΠΕΡΙ
ΑΟΡΓΗΣΙΑΣ
AUTRE
TRADUCTION française : Victor BÉTOLAUD, Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres
morales, t. II , Paris, Hachette, 1870.
page 411. De la tranquillité
de l'âme
page 443. De l'amour
fraternel
ΠΕΡΙ ΦΙΛΑΔΕΛΦΙΑΣ.
AUTRE
TRADUCTION française : Victor BÉTOLAUD, Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres
morales, t. II , Paris, Hachette, 1870.
page 474. De l'amour des pères et des mères pour leurs
enfants.
page 487. Si le vice suffit
pour rendre l'homme malheureux
page 492. Quelles maladies sont les
plus dangereuses, de celles de l'âme ou celles du corps
page 497. Sur la
démangeaison de parler
page 527. De la curiosité (à faire)
ΠΕΡΙ
ΠΟΛΥΠΡΑΓΜΟΣΥΝΗΣ.
Autre
traduction : Victor BÉTOLAUD, Oeuvres
complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. II , Paris, Hachette,
1870.
page 546. De l'amour des richesses (à faire)
ΠΕΡΙ
ΦΙΛΟΠΛΟΥΤΙΑΣ.
Autre
traduction : Victor BÉTOLAUD, Oeuvres
complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. II , Paris, Hachette,
1870.
page 558. De
la fausse honte
ΠΕΡΙ
ΔΥΣΩΠΙΑΣ.
Autre
traduction : Victor BÉTOLAUD, Oeuvres
complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. II , Paris, Hachette,
1870.
page 578. De
l'envie et de la haine
ΠΕΡΙ
ΦΘΟΝΟΥ ΚΑΙ ΜΙΣΟΥΣ.
Autre
traduction : Victor BÉTOLAUD, Oeuvres
complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. II , Paris, Hachette,
1870.
page 581 Comment
on peut se louer soi-même sans s'exposer à l'envie
FIN DU SECOND VOLUME
TABLE DES TRAITÉS CONTENUS EN CE VOLUME.
page 1. Les délais de la justice divine
page 51. Fragment sur l'immortalité de l'âme
page 57. Du Destin
page 73. Du démon de Socrate
page 129 De l'exil
page 154. Consolation à sa femme sur la mort de sa fille
ΠΑΡΑΜΥΘΗΤΙΚΟΣ
ΠΡΟΣ ΤΗΝ ΓΥΝΑΙΚΑ
AUTRE
TRADUCTION française : Victor
BÉTOLAUD, Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. III ,
Paris, Hachette, 1870.
LES
SYMPOSIAQUES , OU LES PROPOS DE TABLE.
LIVRE PREMIER.
AUTRE
TRADUCTION française : Victor BÉTOLAUD,
Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. III , Paris,
Hachette, 1870.
page 164. Avis au lecteur page 165 Préface Question
première.—S'il faut traiter à table des matières philosophiques I66
Question II. — Si celui qui donne à manger doit placer lui-même ses
convives, ou les laisser placer chacun à son gré. I73 Question
IlI.—Pourquoi la place appelée consulaire était-elle la plus honorable ?
I82 Question IV. — Quelles qualités doit avoir celui qui est élu
président du festin? 184 Question V.— Dans quel sens a-t-on dit que
l'amour enseigne la musique ? I89 Question VI.—Si Alexandre était
grand buveur I92 Question VII.—Pourquoi les vieillards boivent-ils
volontiers du vin pur? I95 Question VIII.— Pourquoi les vieillards
lisent-ils mieux de loin que de près? I96 Question IX.—Pourquoi
les étoffes se lavent-elles mieux dans l'eau douce que dans l'eau de mer?
I99 Question X.—Pourquoi à Athènes le chœur de la tribu Éantide
n'est-il jamais placé au dernier rang? 202
LIVRE SECOND.
AUTRE
TRADUCTION française : Victor BÉTOLAUD,
Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. III , Paris,
Hachette, 1870.
Préface 205 Question première.—Quelles sont les
questions et les plaisanteries qui, suivant Xénophon, sont agréables ou
déplacées dans un repas? 206 Question II. — Pourquoi mange-t-on plus
en automne que dans les autres saisons ? 219 Question III.—Lequel de
la poule ou de l'œuf a été formé le premier ? 220 Question IV.—Si la
lutte est le plus ancien des combats d'escrime 227 Question
V.—Pourquoi Homère , en parlant des combats d'escrime, met-il
toujours le pugilat au premier rang, la lutte au second , et la course au
troisième? 230 Question VI.—Pourquoi le pin, le sapin et les
autres arbres de cette espèce ne peuvent-ils pas être greffés? 232
Question VII.—Du poisson appelé remore 235 Question VIII. —
Pourquoi les chevaux lycospades (qu'on a arrachés au loup) sont-ils plus
courageux que les autres? 236 Question IX. — Pourquoi la chair des
moutons qui ont été mordus par un loup est-elle plus tendre que celle des
autres , et leur laine sujette à engendrer des poux ? 237 Question
X.—Si l'usage où étaient les anciens de servir en particulier chaque
convive était préférable à celui de les servir en commun, comme on fait
aujourd'hui 239
LIVRE TROISIÈME.
AUTRE
TRADUCTION française : Victor BÉTOLAUD,
Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. III , Paris,
Hachette, 1870.
Préface 244 Question première.—S'il convient de porter à
table des couronnes de fleurs 245 Question II.—Si le lierre est de sa
nature chaud ou froid 252 Question III.—Pourquoi les femmes
s'enivrent-elles difficilement, et les vieillards très facilement? 256
Question IV.—Si les femmes ont le tempérament plus chaud ou plus froid
que les hommes 258 Question V.—Si le vin est froid de sa nature 260
Question VI.—Quel est le temps le plus propre à l'amour? 261
Question VIl.—Pourquoi le moût n'enivre-t-il pas? 269 Question
VIII. — Pourquoi les gens qui ne sont qu'à moitié ivres paraissent-ils
plus troublés que ceux qui le sont entièrement ? 271 Question IX. — Sur
l'usage de boire à cinq ou à trois, et non pas à quatre 272 Question
X.—Pourquoi les chairs se corrompent-elles plus tôt à la lune qu'au
soleil? 274
LIVRE QUATRIÈME.
AUTRE
TRADUCTION française : Victor BÉTOLAUD,
Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. III , Paris,
Hachette, 1870.
Préface 279 Question première.—Est-il plus facile de
digérer plusieurs espèces d'aliments qu'une seule ? 280 Question II. —
Pourquoi les truffes paraissent-elles être produites par le tonnerre? Et
pourquoi croit-on que les gens qui dorment ne sont jamais frappés de la
foudre ? 289 Question III. — Pour quelle raison invite-t-on aux repas
de noces un grand nombre de convives? 295 Question IV. — Si la mer
fournit des aliments plus agréables que la terre 297 Question V. — Si
c'est par respect pour le porc ou par l'horreur qu'ils ont de cet animal,
que les Juifs s'abstiennent d'en manger 303
LIVRE CINQUIÈME.
AUTRE
TRADUCTION française : Victor BÉTOLAUD,
Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. III , Paris,
Hachette, 1870.
Préface 310 Question première. — Pourquoi l'imitation de
la colère et de la douleur nous cause-t-elle du plaisir, tandis qu'une
colère et une douleur véritables nous affligent? 3I2 Question Il. —
Sur l'ancienneté du prix de la poésie dans les jeux 314 Question
III.—Pour quelle raison le pin est-il consacré à Neptune et à Bacchus? Et
pourquoi, dans l'origine, couronnait-on les vainqueurs aux jeux isthmiques
de feuilles de pin , ensuite d'ache , et en dernier lieu de pin? 3I8
Question IV.—Explication d'un passage d'Homère 322 Question V. —
De ceux qui invitent à leurs repas un grand nombre de convives 3Î5
Question VI. — Pour quelle raison est-on serré à table au commencement
du repas, et pourquoi à la fin s'y trouve-t-on au large? 328 Question
VII. — De ceux qu'on accuse de charmer 330 Question VIII. — Que
signifie l'épithète qu'Homère donne au pommier, et celle par laquelle
Empédocle désigne les pommes? 336 Question IX. — Pourquoi le figuier,
arbre dont le suc est si âcre , produit-il le fruit le plus doux?
339 Question X.—Quels sont ceux dont on dit qu'ils viennent au sel et
au cumin? Et pourquoi Homère donne-t-il au sel l'épithète de divin ? 340
LIVRE SIXIÈME.
Préface 344 Question première. — Pourquoi les personnes
qui jeûnent ont-elles plus soif que faim? 345 Question II.—Est-ce le
besoin qu'on éprouve, ou un changement de figure dans les pores, qui cause
la faim et la soif? 347 Question III.—Pourquoi la boisson
apaise-t-elle la faim, tandis que la nourriture ne fait qu'irriter la soif
? 351 Question IV.—Pourquoi l'eau qu'on a tirée d'un puits et qu'on
laisse toute la nuit dans l'air même du puits en devient-elle plus froide?
354 Question V. — Pourquoi les petits cailloux et les lames de plomb
qu'on jette dans l'eau augmentent-ils sa fraîcheur? 355 Question VI. —
Pourquoi la neige se conserve-t-elle dans la paille et dans les
étoffes? 356 Question VII.—S'il faut clarifier le vin 358 Question
VIII.—Qu'est-ce qui cause la faim canine? 362 Question IX.—Pourquoi
Homère, qui désigne chaque liquide par une épithète propre, ne donne-t-il
qu'à l'huile seule celle d'humide ? 366 Question X.—Pourquoi les
chairs des victimes qu'on suspend à un figuier en deviennent-elles plus
tendres? 368
LIVRE SEPTIÈME.
Préface 370 Question première.—Contre ceux qui blâment
Platon d'avoir dit que la boisson passe par les poumons 371 Question
II.—Que signifie dans Platon le mot ceratbolus? Et pourquoi les grains de
blé qui, pendant qu'on sème, tombent sur les cornes des bœufs,
deviennent-ils durs et difficiles à cuire? 377 Question III. —
Pourquoi le milieu d'un tonneau de vin, le dessus d'une barrique d'huile
et le fond d'un pot de miel sont-ils meilleurs que le reste ? 380
Question IV.—Pourquoi les anciens Romains étaient-ils dans l'usage de
laisser toujours quelque chose sur la table quand on la desservait, et de
faire ôter la lampe avant qu'elle fût éteinte? 382 Question V.—Qu'il
faut éviter avec soin une musique efféminée, et comment on doit s'en
défendre 386 Question VI.—De ceux qu'on appelle ombres;
s'il est convenable d'aller manger chez autrui sans y être invité; quand
et chez qui il est permis de le faire 392 Question VII. — S'il faut
admettre des joueuses de flûte dans un repas 400 Question VIII.—Quelle
espèce de musique est la plus convenable dans un repas? 402
Question IX. — Que l'usage de délibérer à table sur les affaires
publiques avait lieu chez les Grecs comme chez les Perses 409 Question
X. — Si c'est une coutume louable que de traiter à table des affaires
publiques 411
LIVRE HUITIÈME.
Préface 416 Question première.—Des jours où sont nés
quelques personnages célèbres, et des hommes qui passaient pour enfants
des dieux 417 Question II. — En quel sens Platon a dit que Dieu
agissait toujours en géomètre 420 Question III. — Pourquoi le son se
fait-il mieux entendre la nuit que le jour? 415 Question IV.—
Pourquoi, dans les jeux sacrés, les couronnes étant différentes, la
branche de palmier est-elle commune à tous les jeux? Et pour quelle raison
donne-t-on aux grandes dattes de palmier le nom de Nicolas? 431
Question V. — Pourquoi ceux qui naviguent sur le Nil puisent-ils avant
le jour de l'eau de ce fleuve pour leur usage? 436 Question VI. —De
ceux qui viennent tard à table, et de l'étymologie des trois mots qui
expriment le déjeuner, le dîner et le souper 438 Questions VII. — Des
symboles dans lesquels Pythagore ordonne de ne pas souffrir d'hirondelles
dans sa maison, et de déranger son lit dès qu'on est levé 441 Question
VIII. — Pourquoi, entre tous les animaux, les pythagoriciens
s'abstenaient-ils surtout de poisson? 444 Question IX. — S'il est
possible qu'il se forme de nouvelles maladies, et quelles causes peuvent
les produire 450 Question X. — Pour quelle raison n'ajoute-t-on pas
foi aux songes d'automne ? 458
LIVRE NEUVIÈME.
Préface 463 Question
première. — Des vers qui ont été bien ou mal appliqués ib.. Question
II. — Pour quelle raison l'A tient-il le premier rang parmi les lettres ?
466 Question III. — Dans quelle proportion est le nombre des voyelles
et des semi-voyelles? ib. Question IV. —A quelle main Vénus
fut-elle blessée par Diomède? 470 Question V. — Pourquoi Platon dit-il
que l'âme d'Ajax parut la vingtième au sort? 471 Question VI. — Que
signifie la table de la victoire de Minerve sur Neptune? Et pourquoi les
Athéniens effacent-ils le second jour du mois boédromion? 475
Question VII. — Lequel des deux est plus vraisemblable, que les
étoiles soient en nombre pair ou impair? 476 Question XIII. — Sur des
conventions qui paraissaient contraires l'une à l'autre dans le troisième
livre de l'Iliade. 477 Question XIV. — Recherches particulières sur le
nombre des Muses 481 Question XV. — Qu'il y a trois parties dans la
danse : la marche, la figure et la démonstration. Explication de chacune
de ces parties, et ce qu'ont de commun la poésie et la danse 490 De
l'amour 495 Événements tragiques causés par l'amour. — I. —Aristoclès.
553 II. — Actéon 554 III. —. Les filles de Scedasus 536 . IV. —
Phocus 558 V. — Les filles d'AIcippe 560 De l'amour et de ses
effets 562 L'amour n'est point un jugement 565 FIN DE LA
TABLE
TABLE DES TRAITÉS CONTENUS EN CE VOLUME.
page 1. Un
philosophe doit surtout converser avec les princes
ΠΕΡΙ
ΤΟΥ ΟΤΙ ΜΑΛΙΣΤΑ ΤΟΙΣ ΗΓΕΜΟΣΙ ΔΕΙ ΤΟΝ ΦΙΛΟΣΟΦΟΝ
ΔΙΑΛΕΓΕΣΘΑΙ
page 11. Il
faut qu'un prince soit instruit
ΠΡΟΣ
ΗΓΕΜΟΝΑ ΑΠΑΙΔΕΥΤΟΝ
page 19. Si
un vieillard doit s'occuper d'administration publique
ΕΙ
ΠΡΕΣΒΥΤΕΡΩΙ ΠΟΛΙΤΕΥΤΕΟΝ (autre
traduction) Victor BÉTOLAUD, Oeuvres complètes
de Plutarque - Oeuvres morales, t. II , Paris, Hachette,
1870.
page 54. Préceptes
d'administration publique
ΠΟΛΙΤΙΚΑ
ΠΑΡΑΓΓΕΛΜΑΤΑ (autre
traduction )
Victor BÉTOLAUD,
Oeuvres complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. I , Paris, Hachette,
1870. sous la dénomination de : PRÉCEPTES POUR LES HOMMES
D'ÉTAT.
page 125. De
la monarchie, de la démocratie et de l'oligarchie
ΠΕΡΙ
ΜΟΝΑΡΧΙΑΣ ΚΑΙ ΔΗΜΟΚΡΑΤΙΑΣ ΚΑΙ ΟΛΙΓΑΡΧΙΑΣ
page 129. Qu'il
ne faut pas emprunter à usure
ΠΕΡΙ
ΤΟΥ ΜΗ ΔΕΙΝ ΔΑΝΕΙΖΕΣΘΑΙ
VIES DES DIX ORATEURS GRECS.
page 141. Préface
du traducteur page 142. Vie
d'Antiphon - ΑΝΤΙΦΩΝ page 148. Vie
d'Andocidès - ΑΝΔΟΚΙΔΗΣ page 152. Vie
de Lysias - ΛΥΣΙΑΣ page 156. Vie
d'Isocrate - ΙΣΟΚΡΑΤΗΣ page 166. Vie
d'Isée - ΙΣΑΙΟΣ page 167. Vie
d'Eschine - ΑΙΣΧΙΝΗΣ page 171. Vie
de Lycurgue - ΛΥΚΟΥΡΓΟΣ page 180. Vie
de Démosthène - ΔΗΜΟΣΘΕΝΗΣ page 192. Vie
d'Hypéride - ΥΠΕΡΕΙΔΗΣ page 197. Vie
de Dinarque - ΔΕΙΝΑΡΧΟΣ
page 199. Décrets
proposés aux Athéniens
ΨΗΦΙΣΜΑΤΑ
page 205. Abrégé
de la comparaison d'Aristophane et de Ménandre
ΣΥΓΚΡΙΣΕΩΣ
ΑΡΙΣΤΟΦΑΝΟΥΣ ΚΑΙ ΜΕΝΑΝΔΡΟΥ ΕΠΙΤΟΜΗ
page 209. De
la malignité d'Hérodote
ΠΕΡΙ
ΤΗΣ ΗΡΟΔΟΤΟΥ ΚΑΚΟΗΘΕΙΑΣ
page 261. LES OPINIONS DES PHILOSOPHES.
ΠΕΡΙ
ΤΩΝ ΑΡΕΣΚΟΝΤΩΝ ΦΙΛΟΣΟΦΟΙΣ ΦΥΣΙΚΩΝ ΔΟΓΜΑΤΩΝ
Préface
du traducteur
Préface
de l'auteur
page 265. LIVRE
PREMIER.
Chapitre
premier. — Qu'est-ce que la nature - Chap.
II.— En quoi diffèrent le principe et l'élément -
Chap. III. — Des principes - Chap.
IV. — Comment le monde a été formé - Chap.
V. — S'il n'y a qu'un monde - Chap.
VI. — D'où les hommes ont tiré la connaissance de Dieu. - Chap.
VII. — Qu'est-ce que Dieu - Chap.
VIII. — Des génies et des héros -
Chap. IX. — De la matière - Chap.
X. — De l'idée - Chap.
XI. — Des causes - Chap.
XII. — Des corps - Chap.
XIII. — Des corps les plus petits - Chap.
XIV. — Des figures . - Chap.
XV. — Des couleurs - Chap.
XVI. — De la divisibilité des corps - Chap.
XVII. — On mélange et de la combinaison des corps.. - Chap.
XVIII. — Du vide. - Chap.
XIX. — De l'espace - Chap.
XX. — De la capacité - Chap.
XXI. — Du temps - Chap.
XXII. — De la nature du temps - Chap.
XXIII. — Du mouvement - Chap.
XXIV. — De la génération et de la corruption -
Chap. XXV. — De la nécessité - Chap.
XXVI. — De la nature de la nécessité - Chap.
XXVII. — Du Destin. - Chap.
XXVIII. — De la nature du Destin - Chap.
XXIX. — De la Fortune - Chap.
XXX. — De la nature
ΠΕΡΙ ΤΩΝ ΑΡΕΣΚΟΝΤΩΝ ΦΙΛΟΣΟΦΟΙΣ ΦΥΣΙΚΩΝ ΔΟΓΜΑΤΩΝ ΒΙΒΛΙΑ
Ε
ΒΙΒΛΙΟΝ
Α'
αʹ.
Τί ἐστιν ἡ φύσις - βʹ.
Τίνι διαφέρει ἀρχὴ καὶ στοιχεῖα - γʹ. Περὶ ἀρχῶν τί εἰσιν - δʹ.
Πῶς συνέστηκεν ὁ κόσμος - εʹ.
Εἰ ἓν τὸ πᾶν - Ϛʹ. Πόθεν ἔννοιαν θεοῦ ἔσχον οἱ ἄνθρωποι - ζʹ.
Τίς ὁ θεός - ηʹ.
Περὶ δαιμόνων καὶ ἡρώων - θʹ.
Περὶ ὕλης - ιʹ.
Περὶ ἰδέας - ιαʹ.
Περὶ αἰτιῶν - ιβʹ.
Περὶ σωμάτων - ιγʹ.
Περὶ ἐλαχίστων - ιδʹ.
Περὶ σχημάτων - ιεʹ.
Περὶ χρωμάτων - ιϚʹ. Περὶ τομῆς
σωμάτων - ιζʹ.
Περὶ μίξεως καὶ κράσεως -
ιηʹ. Περὶ κενοῦ -
ιθʹ. Περὶ τόπου - κʹ.
Περὶ χώρας - καʹ.
Περὶ χρόνου - κβʹ.
Περὶ οὐσίας χρόνου - κγʹ.
Περὶ κινήσεως - κδʹ.
Περὶ γενέσεως καὶ φθορᾶς - κεʹ.
Περὶ ἀνάγκης -
κϚʹ.
Περὶ οὐσίας ἀνάγκης - κζʹ.
Περὶ εἱμαρμένης - κηʹ.
Περὶ οὐσίας εἱμαρμένης -
κθʹ. Περὶ τύχης - λʹ.
Περὶ φύσεως
page 293. LIVRE
SECOND.
Préface de l'auteur Chapitre premier. — Du monde
Chap. II. — De la figure du monde Chap. III. — Si le monde est
animé Chap. IV. — Si le monde est incorruptible Chap. V. — De quoi
se nourrit le monde Chap. VI. — Par quel élément Dieu commença à
former le monde Chap. VII. —De la disposition du monde Chap. VIII.
— Quelle est la cause de l'inclinaison du monde, Chap. IX. — S'il y a
du vide hors du monde Chap. X. — Quelle est la partie droite du monde,
et quelle est sa partie gauche Chap. XI. — Du ciel et de sa
substance Chap. XII.—En combien de cercles le ciel est divisé
Chap. XIII. — Quelle est la substance des astres, et comment ils ont
été formés Chap. XIV. — De la figure des astres Chap. XV. — De
l'ordre et de la situation des astres Chap. XVI. — Du mouvement des
astres Chap. XVII. — D'où les astres tirent leur clarté Chap.
XVIII. — Des étoiles nommées Dioscures Chap. XIX. — Des pronostics des
astres, et des causes de l'hiver et de l'été. Cbap. XX. — De la
substance du soleil Chap. XXI. — De la grandeur du soleil Chap.
XXII. — De la figure du soleil Chap. XXIII. — Des révolutions du soleil
Chap. XXIV. — De l'éclipse du soleil Chap. XXV. — De la substance
de la lune Chap. XXVI. — De la grandeur de la lune Chap. XXVII. —
De la figure de la lune . Chap. XXVIII. — De la lumière de la lune
Chap. XXIX. — De l'éclipse de la lune Chap. XXX. — De l'apparence
de la lune, et pourquoi elle ressemble à une terre Chap. XXXI. —
De la distance de la lune au soleil Chap. XXXII. — De la grande année
de chaque planète
LIVRE TROISIÈME.
Préface de l'auteur Chapitre premier. — De la voie
lactée Chap. II. — Des comètes, des étoiles tombantes et des poutres
de feu Chap. III. —Des tonnerres, des éclairs, des foudres, des vents
brûlants et des tourbillons Chap. IV. — Des nuées, des pluies, des
grêles et des neiges. Chap. V. — De l'arc-en-ciel Chap. VI. — Des
verges Chap. VII. — Des vents Chap. VIII. — De l'hiver et de
l'été Chap. IX. — De la terre, de sa nature et de sa grandeur....
Chap. X. — De la figure de la terre Chap. XI. — De la
position de la terre Chap. XII. — De l'inclinaison de la terre
Chap. XIII. — Du mouvement de la terre Chap. XIV. — De la division
de la terre et du nombre de ses zones Chap. XV. — Des
tremblements de terre Chap. XVI. — De la mer, de sa formation et des
causes de son amertume Chap. XVII. — Du flux et du reflux de la mer
Chap. XVIII. — De l'aire
LIVRE QUATRIÈME.
Chapitre premier. — Des crues du Nil Chap. II. — De
l'âme Chap. III. — De la nature de l'âme, et si elle est corporelle
Chap. IV. — Des parties de l'âme Chap. V. — Quelle est la partie
principale de l'âme, et où elle est placée Chap. VI. — Du mouvement de
l'âme Chap. VII. — De l'immortalité de l'âme Chap. VIII. —
Des sens et des choses sensibles Chap. IX. — Si les sensations
et les imaginations sont vraies. Chap. X. — Combien il y a de sens
Chap. XI. — Comment se forment nos sensations, nos pensées et nos
discours Chap. XII.— En quoi diffèrent l'imagination et la chose
imaginée, le fantastique et le fantôme Chap. XIII. — De la vue,
et comment nous voyons les objets. Chap. XIV. — Des images
représentées dans les miroirs.... Chap. XV. — Si les ténèbres sont
visibles Chap. XVI. — De l'ouïe Chap. XVII. — De l'odorat
Chap. XVIII. — Du goût Chap. XIX. — De la voix Chap. XX. — Si
la voix est incorporelle, et comment se fait l'écho Chap. XXI. —
Quel est le principe des sensations dans l'âme, et quelle est sa
partie principale Chap. XXII. — De la respiration Chap. XXIII. —
Des affections du corps, et si l'âme partage ses douleurs
LIVRE CINQUIÈME.
Chapitre premier. — De la divination Chap. II. — Quelle
est la cause des songes Chap. III. — Quelle est la substance des
germes reproductifs. Chap. IV. — Si ces germes sont des corps .
Chap. V. — Si les femelles donnent comme les mâles des germes
productifs Chap. VI. — Comment se fait la conception Chap.
Vil. — Comment sont produits les mâles et les femelles, Chap. VIII. —
D'où viennent les monstres Chap. IX. — Pourquoi un commerce trop
fréquent produit la stérilité Chap. X. — Comment les femmes font deux
ou trois enfants à la fois Chap. XI. — D'où vient la ressemblance des
enfants avec leurs pères et leurs aïeux Chap. XII. — Pourquoi les
enfants ressemblent quelquefois à des étrangers, et non à leurs parents .
Chap. XIII. — D'où vient le défaut de fécondité dans les deux sexes
Chap. XIV. — Pourquoi les mules sont stériles Chap. XV. — Si
l'embryon vit dans le sein de la mère Chap. XVI. — Comment se
nourrissent les embryons dans le sein de la mère Chap.'XVII. — Quelle
partie du fœtus se forme la première. Chap. XVIII. —Pourquoi les
enfants venus à sept mois vivent ordinairement Chap. XIX. —Comment les
animaux sont engendrés, et s'ils sont corruptibles Chap. XX. — Combien
il y a d'espèces d'animaux, et s'ils sont tous sensibles et raisonnables
Chap. XXI. — En combien de temps se forment les animaux dans le sein
de la mère Chap. XXII. — De combien d'éléments se compose chacun de
nos membres Chap. XXIII. — Quelle est la cause du sommeil et de la
mort. Chap. XXIV. — Quand et comment l'homme commence à atteindre sa
perfection Chap. XXV. — Si le sommeil et la mort appartiennent au
corps ou à l'âme Chap. XXVI. —Comment les plantes prennent leur
accroissement, et si elles sont animées Chap. XXVII. — De la nourriture
et de l'accroissement des animaux Chap. XXVIII. — D'où viennent dans
les animaux les appétits et les plaisirs Chap. XXIX. — Quelle est la
cause de la fièvre, et si elle est toujours la suite d'une autre maladie
Chap. XXX. — De la santé, de la maladie et de la vieillesse.
QUESTIONS NATURELLES.
I. Pourquoi l'eau de la mer n'est-elle pas favorable à la
végétation des arbres? II. Pourquoi les eaux de pluie sont-elles plus
propres à la végétation des arbres et des plantes que les autres eaux dont
on arrose? III. Pourquoi les bergers donnent-ils du sel à leurs
troupeaux? IV. Pourquoi les eaux de pluie qui tombent avec des
tonnerres et des éclairs, et que, pour cette raison, on appelle
fulgurales, sont-elles plus propres à arroser que les autres?
V. Pourquoi, des huit saveurs que nous connaissons, la saveur salée
est-elle la seule qui ne se trouve en aucun fruit? VI. Pourquoi, quand
on marche fréquemment entre des arbres couverts de rosée, les parties du
corps qui y touchent deviennent-elles galeuses? Vil. Pourquoi les
navires vont-ils plus lentement l'hiver sur les rivières, et qu'il n'en
est pas de même sur la mer?.... VIII. Pourquoi les eaux douces se
refroidissent-elles quand on les remue, et que la mer s'échauffe
lorsqu'elle est agitée? IX. Pourquoi l'eau de la mer est-elle, pendant
l'hiver, moins amère au goût? X. Pourquoi mêle-t-on de l'eau de mer
dans le vin? XI. Pourquoi ceux qui voyagent sur mer, méme par un temps
calme, éprouvent-ils plus de nausées que ceux qui naviguent sur des
rivières? XII. Pourquoi l'huile qu'on répand sur la mer la rend-elle
calme et transparente? XIII. Pourquoi les filets des pêcheurs
pourrissent-ils plutôt en hiver qu'en été, tandis qu'il arrive tout le
contraire aux autres substances? XIV. Pourquoi les Doriens font-ils
une mauvaise récolte en foin? XV. Pourquoi le froment vient-il mieux
da»s une terre grasse et forte, et l'orge dans un terrain sec et
sablonneux? . XVI. Pourquoi dit-on : Semez le froment dans la boue, et
l'orge dans la poussière? XVII. Pourquoi les pêcheurs, pour faire
leurs lignes, préfèrent-ils les poils des chevaux à ceux des juments?
XVIII. Pourquoi l'apparition d'un calmar sur la mer est-elle le signe
d'une grande tempête ? XIX. Pourquoi le polype change-t-il de couleur?
XX. Pourquoi les larmes des sangliers sont-elles douces, et celles des
cerfs salées et d'un goût désagréable? XXI. Pourquoi les truies
font-elles des petits plusieurs fois l'année, et chacune en différents
temps, au lieu que les laies ne font des marcassins qu'une fois seulement,
et toutes à peu près à la même époque, c'est-à-dire au commencement de
l'été XXII. Pourquoi la patte de l'ours passe-t-elle pour douce au
tact, et sa chair très bonne à manger? XXIII. Pourquoi, dans le
printemps, les chiens ont-ils plus de peine à suivre les animaux à la
piste? XXIV. Pourquoi, dans la pleine lune, suit-on plus difficilement
la trace des animaux? XXV. Pourquoi la gelée blanche rend-elle la
trace des animaux plus difficile à suivre ? XXVI. Pourquoi les
animaux, quand ils sont malades, savent-ils chercher les remèdes qui leur
sont propres, et souvent se guérir par leur usage? XXVII. Pourquoi le
vin nouveau se conserve-t-il longtemps doux, quand le vaisseau qui le
contient est exposé à un air froid? XXVIII. Pourquoi, de tous les
animaux sauvages qu'on prend dans des filets, l'ours est-il celui qui les
déchire le moins, au lien que les loups et les renards ont coutume de les
rompre avec les dents? XXIX. Pourquoi sommes-nous plus étonnés de voir
des sources d'eau chaude que des sources d'eau froide, quoique la chaleur
soit la cause des premières, et le froid celle des autres? XXX.
Pourquoi compare-t-on à des boues les vignes et les jeunes plantes qui ne
portent point de fruit? XXXI. Pourquoi la vigne sèche-t-elle lorsqu'on
l'arrose avec du vin, même de celui qu'elle a produit?
Quel est le plus utile, du feu ou de l'eau?
ΠΟΤΕΡΟΝ ΥΔΩΡ Η ΠΥΡ ΧΡΗΣΙΜΩΤΕΡΟΝ
De la face qui paraît sur la lune
ΠΕΡΙ ΤΟΥ ΕΜΦΑΙΝΟΜΕΝΟΥ ΠΡΟΣΩΠΟΥ ΤΩΙ ΚΥΚΛΩΙ ΤΗΣ
ΣΕΛΗΝΗΣ
page 481. Les
animaux de terre ont-ils plus d'adresse que ceux de mer?
ΠΟΤΕΡΑ
ΤΩΝ ΖΩΙΩΝ ΦΡΟΝΙΜΩΤΕΡΑ, ΤΑ ΧΕΡΣΑΙΑ Η ΤΑ ΕΝΥΔΡΑ
page 544. Que les bêtes ont l'usage de la raison
Autre
traduction : Victor BÉTOLAUD, Oeuvres complètes
de Plutarque - Oeuvres morales, t. IV , Paris, Hachette,
1870.
ΠΕΡΙ
ΤΟΥ ΤΑ ΑΛΟΓΑ ΛΟΓΩΙ ΧΡΗΣΘΑΙ
page 563. Sur
l'usage des viandes
ΠΕΡΙ
ΣΑΡΚΟΦΑΓΙΑΣ ΛΟΓΟΣ
page 578. QUESTIONS
PLATONIQUES.
ΠΛΑΤΩΝΙΚΑ
ΖΗΤΗΜΑΤΑ
Préface du traducteur - I. Pourquoi Socrate dit-il,
dans le Théétète de Platon, que Dieu lui avait ordonné de faire à l'égard
des autres les fonctions de sage-femme, et de ne rien enfanter
lui-même? - II. Pourquoi Platon a-t-il appelé le souverain Dieu Père
et Créateur de toutes choses ? - III. Pourquoi Platon, qui assure
toujours que l'âme est plus ancienne que le corps, qu'elle est son
principe et la cause de sa génération, dit-il cependant que l'âme n'eût
pas existé sans le corps, ni l'entendement sans l'âme; mais que l'âme est
dans le corps, et l'entendement dans l'âme? - IV. Pourquoi, entre
les différents corps composés les uns de lignes droites et les autres de
lignes circulaires, assigne-t-il pour principes des corps composés de
lignes droites, le triangle isocèle et le triangle scalène, dont le
premier a formé le cube, qui est l'élément de la terre, et le second la
pyramide, l'octaèdre et l'icosaèdre, dont l'une est le principe du feu,
l'autre de l'air, et le troisième de l'eau? Pourquoi omet-il absolument
les corps circulaires, quoiqu'il ait fait mention du sphéroïde, et qu'il
ait dit que chacune des ligures ci-dessus nommées peut diviser une
circonférence en parties égales? - V. Pourquoi Platon dit-il, dans
son Phèdre, que la nature de l'aile qui élève dans les airs les corps
graves, est, de toutes les parties qui dirigent le corps, celle qui
participe le plus à la Divinité? - VI. Pourquoi Platon dit-il que
l'action et le mouvement de l'air environnant (car il n'admet point de
vide dans la nature) est la cause des effets produits dans les ventouses,
dans la déglutition, dans la descente des corps graves, dans le mouvement
des liquides, dans la chute de la foudre, dans l'attraction de l'ambre et
de l'aimant, et dans les accords des sons? - VII. Pourquoi dit-il, dans
son Timée, que les âmes ont été formées sur la terre, sur la lune et les
autres instruments du temps ? - VIII. Platon, dans sa République, en
discourant sur les facultés de l'âme, ayant très bien comparé l'accord de
ces trois facultés, la raisonnable, l'irascible et la concupiscible, à la
consonnance de l'octave, dont l'intervalle est rempli par la mèse,
l'hypate et la nète, on peut demander s'il a placé au milieu la faculté
raisonnable ou l'irascible; car il ne s'est pas bien expliqué
là-dessus - IX. Pourquoi Platon a-t-il dit que le discours est
composé de noms et de verbes?
FIN DE LA TABLE
DE
LA CRÉATION DE L'ÂME D'APRÈS LE TIMÉE DE
PLATON.
+
texte grec
Préface du traducteur 1
De la création de l'âme d'après le Timée de Platon 3 Extrait du
traité de la Création de l'Âme 48
DES CONTRADICTIONS DES STOÏCIENS.
page
51. Préface
du traducteur - Des contradictions des stoïciens
ΠΕΡΙ
ΣΤΩΙΚΩΝ ΕΝΑΝΤΙΩΜΑΤΩΝ
page
107. Que
les stoïciens disent des choses plus étranges que les poètes eux-mêmes
ΟΤΙ
ΠΑΡΑΔΟΞΟΤΕΡΑ ΟΙ ΣΤΩΙΚΟΙ ΤΩΝ ΠΟΙΗΤΩΝ ΛΕΓΟΥΣΙΝ
page
110. Des notions communes contre les
stoïciens. — Dialogue
ΠΕΡΙ ΤΩΝ
ΚΟΙΝΩΝ ΕΝΝΟΙΩΝ ΠΡΟΣ ΤΟΥΣ ΣΤΩΙΚΟΥΣ.
ON NE PEUT VIVRE, MÊME
AGRÉABLEMENT, EN SUIVANT LA DOCTRINE D'ÉPICURE.
pages 172 Préface du traducteur - On ne
peut vivre, même agréablement, en suivant la doctrine d'Épicure
ΟΤΙ
ΟΥΔΕ ΗΔΕΩΣ ΖΗΝ ΕΣΤΙΝ ΚΑΤ´ ΕΠΙΚΟΥΡΟΝ
autre
traduction Victor BÉTOLAUD, Oeuvres
complètes de Plutarque - Oeuvres morales, t. IV , Paris, Hachette, 1870.
sous le titre : Qu'il n'est pas même possible de vivre
agréablement selon la doctrine d'Épicure Contre
l'épicurien Colotes 227 S'il est vrai qu'il faille mener une vie
cachée 275 De la musique. — Dialogue 282
TRAITE D'ISIS ET D'OSIRIS.
Avis du traducteur 318 Traité d'Isis et
d'Osiris , 319
DES
NOMS DES FLEUVES ET DES MONTAGNES, ET DES CHOSES REMARQUABLES QUI S'Y
TROUVENT.
I.
L'Hydaspe 400 II. L'Ismène 401 III. L'Hèbre 403 IV. Le Gange
405 V. Le Phase 406 VI. L'Arar, ou la Saône 408 VII. Le
Pactole 409 VIII. Le Lycormas 411 IX. Le Méandre 412 X. Le
Marsyas 413 XI. Le Strymon 415 XII. Le Sagaris 416 XIII. Le
Scamandre 417 XIV. Le Tanaïs 418 XV. Le Thermodon 420 XVI. Le
Nil ib.. XVII. L'Enrotas 422 XVIII. L'inadius 423 XIX.
L'Alphée 426 XX. L'Euphrate 427 XXI. Le Caïque 428 XXII.
L'Achéloüs 430 XXIII. L'Araxe 431 XXIV. Le Tigre 433 XXV.
L'Indus 434
FRAGMENT DE PLUTARQUE SUR LA NOBLESSE.
Préface du traducteur 436 Fragment de
Plutarque sur la noblesse 438 II. — Fragment du traité des Stromates,
rapporté par Eusèbe dans sa Préparation évangélique, liv. Il, chap. VIII,
p. 22 et suivantes.— Sur la nature et la formation de l'univers. 475
2. Du traité sur la fête de Dédalis à Platée, dans Eusèbe, liv. III,
chap. i, p. 83. — Sur la théologie naturelle des Grecs 480 3. Du
premier livre du Traité de l'Âme, dans Eusèbe, liv. XI,
|